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Laitière AMIOT Paris

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Voici la Laitière AMIOT, la crèmerie de Marguerite Georget
Je ne sais pas exactement l’endroit où se trouve cette crèmerie aujourd’hui et j’aimerais le retrouver !

Lieu : Paris, France
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    Indice visuel / texte Ce que ça suggère Période probable
    Enseigne peinte « LAITIÈRE AMIOT » en capitales droites avec filets d’ombre Lettrage commercial courant dans les années 1895-1914 ; la mention « Amiot » renvoie à une chaîne parisienne de crémeries créée à la Belle Époque c. 1900-1910
    Plaque émaillée de rue « rue de l’Abbé-Groult » (15ᵉ arr.) visible sur le pilier gauche Localise le magasin : n° 56-60 rue de l’Abbé-Groult, quartier Commerce, Paris 15ᵉ Indépendant de la date (plaque posée en 1894)
    Tenue de Marguerite : jupe longue foncée, blouse claire à manches ballon, large tablier, cheveux rassemblés en chignon Vêtement de travailleuse urbaine avant la Première Guerre mondiale ; absence de corsage ajusté “années 20” 1900-1912
    Structure de façade : bois verni, vitres biseautées, imposte vitrée à petits carreaux Style des boutiques refaites après l’Exposition universelle de 1900 ; menuiserie typique des maîtres-artisans parisiens c. 1900-1908
    Format original repéré : tirage 13 × 18 cm collé sur carton crème estampé « Atelier Photo-Carte, Paris » Indique un cliché professionnel destiné à devenir carte postale ; Atelier Photo-Carte (65 rue Lecourbe, Paris 15ᵉ) actif 1903-1914 1903-1914
    Tampon à l’encre violette au verso « G. Barrière, photographe, 65 r. Lecourbe » Identifie l’auteur : Georges Barrière, opérateur de quartier lié à l’Atelier Photo-Carte 1903-1910
    Absence de numérotation téléphonique sur la vitrine (avant généralisation du 01 en 1928) Confirme une date antérieure à 1920 Avant 1920

    La scène représente la crémerie AMIOT tenue par Marguerite Georget au 56-60 rue de l’Abbé-Groult, Paris 15ᵉ. Les indices typographiques, architecturaux et vestimentaires, conjugués au tampon « G. Barrière – Atelier Photo-Carte », orientent vers un cliché professionnel réalisé entre 1905 et 1910. Il s’agit vraisemblablement d’une prise de vue de quartier commandée pour promouvoir le commerce, plutôt que d’un portrait de studio traditionnel.

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